Thursday, March 3, 2011

Le projet de loi n'empêche pas certains casinos en ligne



Une déclaration récente du groupe de casino en ligne Jackpot Factory a certains joueurs des États-Unis avec un soupir de soulagement pour le moment. Depuis les États-Unis a promulgué la nouvelle loi visant à limiter l'accès des citoyens américains de casinos en ligne qui acceptent l'argent de citoyens américains, de nombreuses sociétés de jeux en ligne sont rapidement juste se détacher de la de nombreuses entreprises américaines ont déjà cessé d'accepter le jeu des États-Unis, et d'autres ont déplacé leurs affaires ailleurs par peur même de litiges des États-Unis quand ils commencent à appliquer leur casino en ligne le projet de loi anti-.

Le Jackpot Factory a annoncé que si elles poursuivent roulette en ligne leurs activités comme prévu en dépit de cette nouvelle loi. Dans l'ensemble, Jackpot Factory est une société qui contrôle huit casinos en ligne et sites de poker sur le Web. Bien que ne sont pas sûrs de la façon dont ce projet de loi aura une incidence sur leur entreprise dans le long terme, pour le moment ils l'intention de rester ouverts aux citoyens des États-Unis.

Jackpot Factory avait ceci à dire au sujet des Etats-Unis Unlawful Internet Gambling Enforcement Act: «Sans aucun doute, ce (la nouvelle législation américaine anti-jeux en ligne) est une évolution sérieuse dans notre industrie, mais le groupe Jackpot Factory et son casinos se poursuivent avec les entreprises, comme d'habitude dans un avenir prévisible. "

Ils sont allés en disant: «Nous sommes engagés à fournir un amusement et une bonne réputation expérience de casino en ligne ... Plus important encore, les joueurs seront encore en mesure de trouver la sécurité et la sécurité du jeu en ligne à l'un de nos casinos et ses affiliés continueront de recevoir les service professionnel qu'ils ont appris à connaître. "

Friday, February 4, 2011

HISTORY OF CHILDHOOD

Access to good parenting, food, housing, and sanitation is
the primary method for enhancing children’s well-being and
opportunities. The consensus that children also should have
basic healthcare and social services grew throughout the
twentieth century. Initially, advocates for better health and
social care for impoverished, neglected, abused, and exploited
children included those active in the women’s rights
movement, the newly recognized specialty of pediatrics, and
the visiting home-health nursing programs. As the century
progressed, lawyers and social scientists joined the reform
movement, attacking the long-dominant views that children
are the property of their parents or guardians and that the
state has no authority to intervene even if children are
abused or neglected.
Children gained rights to certain medical services and
the right to be protected from abuse, poverty, neglect, and
exploitation; adolescents gained liberties such as the right to
consent to some kinds online casino roulette   of treatments or services without
parental approval or notification (Holder, 1985, 1989).
Scientists helped transform children’s programs through
studies of children’s growth, development, needs, experiences,
illnesses, and perspectives, showing the importance of
candor and respect for children’s views. A distinctive feature
of advocacy for improved health and social care for children
can be summarized as follows: Others make most decisions
for minors in terms of their personal care and the allocation
of funds for children’s programs.
Moral disputes about healthcare for children will be
discussed under four headings: Who should make decisions
for children? How should those decisions be made? When
should children be enrolled as research subjects? How much
of society’s healthcare funds should be allocated to children’s
programs?